RetourEnregistrements.htmlshapeimage_1_link_0

Biographie     Enregistrements     Écrits     Contact

 
RetourEnregistrements.htmlshapeimage_3_link_0
Scène pastorale et orage Oeuvres de Lefébure-Wély, Boely, César Franck, Joseph Franck Marie-Louise JAQUET-LANGLAIS à l’orgue Cavaillé-Coll de la Cathédrale Sainte-Croix d’Orléans. Motette, Wiesbaden, 2005. Motette, CD 10571, réédition en CD du microsillon réalisé en 1982 www.motette-verlag.dehttp://www.motette-verlag.deshapeimage_4_link_0
A-P-F Boëly : Fantasia pour le verset « Judex crederis » op.38 n°4 3 :55 C-A Franck : Andantino 6 :29 L-J-A Lefébure-Wély : Boléro de concert 4 :48 Scène Pastorale pour une inauguration d’orgue 10 :48 J-H-J Franck : Sicilienne et orage, op.40 C-A Franck : Pièce symphonique 8 :01 Offertoire pour la messe de minuit 5 :00 Sortie en fa majeur 5 :00 Durée totale : 51’34 Extraits de presse Scène pastorale et orage « Ce disque apporte un souffle de fraîcheur et de bonne humeur dans l’atmosphère souvent mondaine et un peu tendue du monde organistique. Merci à Marie-Louise Jaquet d’avoir « décrispé » (c’est hélas un terme à la mode…) cet univers qui n’hésite pas à critiquer certaines pages de la littérature organistique. La cotitulaire de Sainte-Clotilde s’est ici lancée dans une aventure qui a le double mérite d’engendrer le sourire et de nous inviter à nous poser quelques questions (…). Bien sûr ces pièces prêtent à sourire car elles sont remplies d’effets sonores, d’envolées pianistiques et oscillent entre l’art naïf et celui dit « pompier » dont le nombre des amateurs ne cesse de croître aujourd’hui ». Christiane Trieu-Colleney, Jeunesse et Orgue n°59, automne 1984 Scène pastorale et orage - Hirtenszene un Donnergrollen « Ce disque est une importante contribution au répertoire organistique français. Il aborde une littérature avide de plaire à son public. Pages autrefois très appréciées, très jouées pour être ensuite tournées en dérision, puis oubliées et qui ont aujourd’hui un intérêt historique certain. (…) N’imaginons même pas ce genre de musique résonant sur les orgues allemandes de l’époque. Par contre, sur le célèbre Cavaillé-Coll d’orléans (1880.IV.54) tout n’est qu’éclat, couleurs brillantes et noblesse. (…) » R.J., Ars Organi, Allemagne, décembre 1985