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JEAN LANGLAIS Deuxième Concerto pour orgue et orchestre and other works Marie-Louise Langlais, London Pro Arte Orchestra, direction Murray Stewart (enregistré en 1994 à ST John’s Smith Square, Londres, orgue Klais) KOCH International, Londres, 1994. KOCH International 3-1529-2 HI, 19, CD épuisé Contact : Marie-Louise Langlaismailto:ml.langlais@wanadoo.fr?subject=shapeimage_4_link_0
Concerto pour Orgue et orchestre : 1 – Thème et Variations 11’04 2 – Interlude 2’32 3 – Final 15’59 Autres pièces : 4 – Chant de paix, orgue solo 4’57 5 – Pasticcio (Organ Book), orgue solo 2’20 6 – Cantique (Suite Folklorique), orgue solo 4’52 7- Canzona (Suite Folklorique), orgue solo 3’22 8 - Pièce en forme libre, orgue et orchestre 13’01 9 – Incantation pour un Jour Saint, orgue solo 5’04 Durée totale : 63’38 Extraits de presse Jean LANGLAIS (1907-1991) - Deuxième Concerto pour orgue et orchestre à cordes « Annoncé de longue date, ce CD comble enfin une importante lacune avec la version de référence du Deuxième Concerto de Jean Langlais, déjà gravé en 1977 chez Proprius (…).Marie-Louise Langlais, épouse et interprète privilégiée du compositeur (Arion devrait nous rendre en CD ses Méditations sur l’Apocalypse, Sainte-Clotilde, 1976), apporte naturellement la ferveur et l’esprit de l’œuvre, mais aussi la grandeur instrumentale d’une impressionnante rigueur, à laquelle répondent les cordes particulièrement vibrantes du Pro Arte Orchestra de Murray Stewart (excellent organiste et interprète de Franck pour Kontrapunkt) ». Michel Roubinet, Diapason n°446, mars 1998 – 5 Diapasons Jean LANGLAIS (1907-1991) – Œuvres pour Orgue et Orchestre (vol.I) « L’œuvre de Jean Langlais est immense et encore très largement méconnue.(…) Ce siècle finissant, guère religieux, ignore et méprise cette production musicale d’une importance considérable (écoutez aussi les plus récentes Laudes de Jean-Louis Florentz), qui sera nécessairement redécouverte un jour ou l’autre, et replacée à une plus juste place dans l’histoire de la musique. A cet égard le catalogue de Langlais, qui comprend presque trois cents partitions, principalement pour orgue mais aussi de la musique chorale religieuse, des mélodies, des transcriptions libres du folklore, un peu de musique instrumentale et de chambre, apparaît comme le refler singulier des forts courants musicaux qui traversèrent le siècle (…). La présence, à l’orgue, de l’épouse du compositeur est aussi un gage de probité d’intention et de compréhension intime d’une musique de toute beauté qu’il faudra bien se décider à graver dans son ensemble. » Philippe Simon, Répertoire n°112, avril 1998 – 9 de Répertoire