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JEAN LANGLAIS
Musique vocale
Maîtrise des Bouches-du-Rhône, 
direction Samuel Coquard,
Marie-Louise Langlais à l’orgue de Roquevaire
Cantate St Louis-Marie de Montfort (1er enregistrement), Cinq Motets, Messe d’Escalquens, Trois prières, 
Missa in simplicitate. 
Solstice, Paris, 2007.		

Solstice, SOCD 241 
www.solstice-music.comhttp://www.solstice-music.comshapeimage_3_link_0
1 à 5 - Messe d’Escalquens   						                                                               7’14
6 – Canzona (Suite Folklorique), orgue  	                                        				     3’24
7 à 11 – Cinq Motets 							                                                                          8’58
12 – Cantique (Suite Folklorique), orgue                                                  4’56
13 – Cantate en l’honneur de St Louis-Marie de Montfort (création)   6’01
14 – Incantation pour un Jour Saint, orgue  				                                        4’46
15 à 17 – Trois Prières 						                                                                         5’26
18 – Pasticcio (Organ Book) , orgue  				                                             	      2’30
19 à 24 – Missa in simplicitate   					                                                        13’19	

Durée totale :  56’40    
Extraits de presse

JEAN LANGLAIS
« Un magnifique postlude à l’année du centenaire. On a ici l’heureuse quintescence du langage de Jean Langlais : dans ces petits joyaux chantés, si divers dans leur  commune humilité de matériau, le compositeur se dépouille des oripeaux de la virtuosité, se décharge du fardeau des constructions formelles ou intellectuelles qu’il n’a d’ailleurs porté qu’en forçant sa nature, et apparaît comme un croyant, un homme simple, une âme aimante (…) »
Paul de Louit, Diapason 86, mars 2008 (5 Diapasons).

Langlais
« Cet univers est celui de la musique modale française du XXe siècle, encore très fauréenne, ce qui peut faire penser, dans ce répertoire religieux, à l’esprit du Requiem de Duruflé. (…) C’est dans les pièces plus percutantes qu’il donne vraiment sa mesure, comme dans la Messe d’Escalquens ou la Cantate en l’honneur de St Louis Marie de Montfort. Là, l’écriture rappelle celle du Roi David d’Honegger (1924), donc cherche à appartenir au XXe siècle, enchaînant les accords en contraste violent les uns avec les autres. Les petits sopranes sont excellents dans les forte aigus, semblant presque sortir de leurs voix pour viser quelque timbre de violon. »
Jacques Amblard, Le Monde de la Musique, mars 2008
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